Conscience de l'homme civilisé
« Ce que nous appelons "la conscience de l'homme civilisé" n'a cessé de se séparer des instincts fondamentaux.
Mais ces instincts n'ont pas disparu pour autant. Ils ont simplement perdu contact avec notre conscience et sont donc forcés de s'affirmer d'une manière indirecte.
Ils peuvent le faire par le moyen de symptômes physiologiques, dans le cas d'une névrose, ou au moyen d'incidents divers, comme par exemple des humeurs inexplicables, des oublis inattendus, des lapsus.
L'homme aime se croire maître de son âme. »
C.G. Jung " L'homme et ses symboles ", Robert Laffont, 1964 p 83.
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